Ceci n’est pas une course au like. Suivez-nous sur Facebook,
et c’est l’occasion pour vous de voir apparaître dans votre feed un peu d’actu entre quelques photos de famille.
Vous avez un compte Twitter ? Vous voulez suivre l’actu ?
On a un compte Twitter sur l’actu. Avec aussi des gifs, des photos et vidéos, et une sélection de la veille de nos journalistes.
Depuis le début du mois d’août, au moins un à deux Palestiniens de Gaza sont tués chaque semaine par des soldats israéliens. L’information n’est même plus diffusée par les médias tant elle est devenue «répétitive». Pas moins de 170 Gazaouis sont ainsi morts sous les balles de Tsahal depuis le 30 mars, jour de la grande manifestation palestinienne le long de la barrière séparant Gaza d’Israël. L’Etat hébreu affirme vouloir se défendre contre les tirs de roquettes ou d’obus de mortier et les jets de grenades ou de cerfs-volants enflammés. Le Hamas, qui contrôle l’enclave, entretient en toute connaissance de cause cette pression permanente sur Israël dans une sorte de jeu morbide dont l’organisation espère tirer profit à terme. Résultat : un conflit «de basse intensité», comme les experts le qualifient, en passe de créer une génération entière d’éclopés dans cette bande de terre coincée entre l’Egypte autoritaire d’Al-Sissi et l’Israël nationalisto-religieux de Nétanyahou. Si l’on parle (parfois) des morts, on n’évoque même plus les blessés tant ils sont nombreux. Plusieurs milliers en quelques mois. Des hommes jeunes, des adolescents et même des enfants atteints aux membres inférieurs et condamnés à vivre de l’assistanat, dans la misère et la haine d’Israël. Car ces souffrances et cette rancœur sont les pires poisons, elles se transmettent de génération en génération, attisant l’envie de vengeance. Les dirigeants palestiniens en portent une lourde responsabilité, incapables de s’entendre sur une politique commune et viable pour sortir de cet enfer. Mais les Israéliens sont bien plus fautifs encore, qui n’hésitent pas à tirer comme un lapin quiconque s’approche des barbelés, drapeau à la main, dans une bravade suicidaire qui en dit long sur le désespoir local. Jusqu’à quand ces leaders politiques à courte vue vont-ils entretenir ces braises ? L’annonce de la mort, lundi, de l’Israélien Uri Avnery, infatigable militant pour la paix, est de bien triste augure.
If you do not want to see ads based on anonymous behavioural data, you can opt-out according to the OBA regularities. About the campaigns in this ad (read left to right and top to bottom):
If you as a publisher have any complaints about one of the ad creatives, please visit the following link to receive detailed information about the advertiser.
Sous égide égyptienne et onusienne, les discussions seraient dans «la dernière ligne droite». Objectif : une trêve de longue durée entre Israël et le Hamas. Et...
L’écrivain israélien revient sur la loi controversée, adoptée à la Knesset le 9 juillet, définissant l’Etat israélien comme la «nation du peuple juif» et déclarant l’hébreu comme seule langue officielle. Il la juge irresponsable et surtout vide de sens.
Les autorités israéliennes ont indiqué qu’un infirmier palestinien de Médecins Sans Frontières à Gaza avait ouvert le feu lundi sur des soldats israéliens. MSF a rapporté sa mort vendredi et dit en vérifier les circonstances.
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi l’annulation de plus de 200 millions de dollars d’aide aux Palestiniens, une décision dénoncée par les autorités palestiniennes comme étant «anti-paix».
Benyamin Nétanyahou s’est félicité de l’acquisition pour 3,2 milliards de dollars par l’américain de l’entreprise établie dans le sud du pays qui propose à ses clients de fabriquer leurs boissons gazeuses.
Les actes de chirurgie esthétique bon marché profitent aux touristes, ainsi qu’à un public local de plus en plus jeune. Malgré des praticiens expérimentés, le risque de dérives persiste.
Il n'existe aucun impôt dédié au dédommagement des victimes juives du régime nazi, selon le ministère allemand des Finances, contacté par CheckNews. Mais le pays verse toujours des réparations.
Un ancien étudiant de la féministe «queer» lui reproche des mails et des gestes déplacés. Des intellectuels, dont Judith Butler, l’ont défendue. Un comportement jugé masculin et corporatiste par de nombreux médias.